Ce n’est pas obligatoire de faire ce bilan, mais j’en ai besoin. Écrire noir sur blanc ces 50 jours de confinement me semble être une
La vie, la mort… c’est presque du pareil au même ! Après cette mort nous reviendrons ici-bas, alors à quoi bon craindre ce passage obligé vers
Un instant de vie qui réchauffe le cœur,C’est un petit rien qui en fait beaucoup. Un partage de sens qui remplit nos têtes,Ouvrir ses bras
Écrire, griffonner et poser des idées. Se centrer et laisser venir. Et puis tout doucement la naissance de quelque-chose, un début d’histoire, une aventure qui
Je me suis extirpée de ce corps en hurlant…